Il aura fallu à peine plus d’une poignée d’années pour que la discipline hybride du « cinémagraphe » s’impose internationalement comme le nouvel horizon de la photographie contemporaine.
Un fulgurant succès, possiblement synonyme d’éphémérité (nous verrons bien), qui n’interdit en rien de s’émerveiller devant les mouvements perpétuellement animés par l’objectif sans œillères de talentueux chasseurs-faiseurs d’images.
Armand Dijcks est de ceux-là. Sa série « Waves« , co-réalisée avec la complicité du photographe Ray Collins, est simplement stupéfiante.
Pour mesurer l’ampleur du « phénomène », appelé à moyen terme à coloniser nos espaces publicitaires et domestiques, faites donc un petit tour sur la galerie Flixel qui promeut le logiciel-vedette des cinémagraphers.
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