L’exposition « Illusion » à Dublin

illusions

Le cerveau est une machine perfectible que les adeptes de l’art cinétique continuent de piéger en utilisant les illusions d’optique. « N’est-ce pas le propre du cinéma d’animation de jouer avec la persistance rétinienne ? », répondrais-je aux sceptiques qui s’étonneraient de cette chronique.

La Science Gallery de Dublin propose jusqu’à la fin septembre 2013 une formidable exposition d’installations plus ou moins récentes d’œuvres éprouvant les fonctionnalités d’interprétation du disque dur humain. J’attire principalement votre attention sur le zoetrope dérangeant (« Die Falle ») de Gregory Barsamian, les gravures sur fibres optiques de Roseline de Thelin (« Columba », ci-dessus), les sculptures anamorphiques de Jonty Hurwitz (« The Hurwitz singularity »), les écrans interactifs de Madi Boyd (« The point of perception », déjà évoqué ici précédemment) ou les vidéo-projections (« Titre variable n°9 ») de notre Pierrick Sorin national.
De nombreuses expériences d’animation sans film qui démontrent que… blablabla blablabla…

> Le site de l’exposition

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