L’idée est toute simple et elle a probablement germé de l’esprit d’un enfant de la génération WXYZ, fertilisé par des années de démontage de consoles de jeu portatives. Combiner des pliages élaborés avec des capteurs électroniques synchronisés à des pulsations rythmiques, permet au designer et ingénieur japonais, Ugoita T., d’animer d’étonnantes chorégraphies d’origami volatiles qui se résumeraient à des animatronics rudimentaires s’il n’y avait pas ces variations de symétries créées par le reflet des pliages dans leur support, lesquelles génèrent, selon le point de vue, une graphie géométrique aléatoire, un syllabaire cunéiforme de l’absurde.> voir la nouvelle danse des canards …
