L’agence britannique DBLG tente depuis un bon moment d’amortir ses grandes imprimantes 3D en expérimentant des procédés d’animation dont, il faut bien l’avouer, on peine toujours à comprendre la pertinence – artistique, économique, logistique – tant ceux-ci sont contraignants.
A moins qu’il ne s’agisse que de faire parler à peu de frais sur les blogs de veille-comme-celui-sur-lequel-vous-vous-trouvez-de-plus-en-plus-nombreux-d’ailleurs-merci.
Dernière innovation en date, donc, dans la formidable histoire en marche de la « troisième révolution industrielle », l’animation par impression sur peau humaine !
Qui se dévoue pour leur expliquer qu’avec une main et un feutre on obtient, à peu de nuances près, le même résultat en dix fois moins de temps et sans douleur ?