On passera vite sur les arguments de vente (les « millions de polygones », le « temps de calcul optimisé », les « images extraordinaires ») de ce jeune studio français pour insister sur ce que démontre cette démo d’auto-promotion très réussie.
Il ne fait plus le moindre doute que l’imagerie scientifique a tout à gagner à sur-exploiter les ressources des images de synthèse, à plus forte raison lorsqu’elles sont aussi soignées, donc spectaculaires, donc aptes toucher voire former leurs publics-cibles.
La french touch de l’animation numérique commence enfin à trouver une clientèle nationale de plus en plus exigeante, mais encore trop rare pour générer une économie solide et durable.
Cette timide émergence aura donc pris presque 20 ans. Bravo !
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