Réalisateur, illustrateur, animateur, japonais, indépendant, surdoué, assurément poète aussi, Masanobu Hiraoka conçoit des courts métrages d’animation étranges oscillant librement entre abstraction et figuration, psychédélisme et surréalisme post-moderne, sans queue, ni tête.
On s’enfonce langoureusement dans son monde flottant en métamorphose perpétuelle et on resterait bien là des heures entières, bloqué, et quelque peu enivré sans le moindre recours à quelconque substance prohibée.
Sur grand écran, dans une salle sphérique, ça doit être magnifique ; ça tombe bien, le 17 octobre prochain …
On s’enfonce langoureusement dans son monde flottant en métamorphose perpétuelle et on resterait bien là des heures entières, bloqué, et quelque peu enivré sans le moindre recours à quelconque substance prohibée.
Sur grand écran, dans une salle sphérique, ça doit être magnifique ; ça tombe bien, le 17 octobre prochain …
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