Jared Tarbell est l’un des fers de lance de la computation (création visuelle générée par le code informatique), digne héritier, sinon descendant honorifique, de John Maeda.
Je suis son parcours avec intérêt depuis ses débuts et ma fascination pour les images qu’il produit n’a jamais cessé de croître. Tout comme ma conviction que la computation, unique (?) révolution de l’art contemporain des trente dernières années, dictera ses lois à toutes les créations artistiques de la seconde moitié du XXIe siècle. Il ne s’agit nullement d’une prophétie à deux balles mais du pari sur l’avenir, de la part d’un inconditionnel du papier et du crayon bien décidé à jouir et rire de cette domination technologique de l’art.
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