« Il y a quelque chose de magnifique dans cette technique de l’animation : plus on approfondit, plus ça ressemble à la réalité, plus on voit que les lois de la physique, les lois de Newton, les vieilles lois, isolées […] se remettent en place d’elles-mêmes. C’est le seul art qui offre ça à notre époque. Tous les autres se perdent. […] Plus nous faisons des efforts, moins nous serons compris des amateurs de dessins animés (c’est entendu), mais plus nous serons compris par tous les autres. »
Extrait d’un entretien accordé par André Lindon à Pascal Vimenet (vers 1984 ?), publié partiellement dans « Les Cahiers du cinéma ».
L’intégralité de cet entretien figurera dans le tome 3 (?) de « L’abécédaire de la fantasmagorie ».
Le présent extrait provient du tome 2 de cette série d’ouvrages, à l’entrée [80] L’enfant invisible. Quand je revois le film.
Quelques photogrammes extraits du film :
Un croquis-reportage de Marie Paccou, capté lors de la rencontre avec André Lindon, suite à la projection de L’enfant invisible à Annecy en juin 2016 :
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