Celles et ceux qui aiment et étudient le cinéma d’animation savent ce qu’ils doivent aux travaux d’historien de Sébastien Roffat.
Le bougre a eu la très mauvaise idée de nous laisser en plan hier, à l’âge canonique de 42 ans.
Le meilleur moyen de lui rendre hommage reste la lecture de ses livres, solidement documentés, érudits et vulgarisateurs, particulièrement instructifs, captivants en dépit de leurs sujets pointus et dramatiques parfois.
« Desseins animés » en recense quelques-uns, tout comme ceux de la collection « Cinémas d’animation » qu’il a initiée et brillamment développée chez L’Harmattan.
En-tête : Sébastien Roffat en novembre 2015 au Mémorial pour la paix (Caen). J’avais placé son livre « Animation et propagande » sur le bureau du directeur de programmation du musée dix ans plus tôt.
Crédit photo : © D.R pour un article de Zoé Barbier dans Ouest France.
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